segunda-feira, 18 de julho de 2011

Rien à declarer

Três anos após A Riviera não é aqui, cujo post pode ser visto aqui (http://poliglotanalfabeto.blogspot.com/2010/10/cinema-frances.html), Dany Boon, escreveu, dirigiu e também interpreta um dos papeis principais em Rien à declarer.
Synopsis : 1er janvier 1993 : passage à l’Europe. Deux douaniers, l’un Belge, l’autre Français, apprennent la disparition prochaine de leur petit poste de douane fixe situé dans la commune de Courquain France et Koorkin Belgique.
Francophobe de père en fils et douanier belge trop zélé, Ruben Vandervoorde se voit contraint et forcé d’inaugurer la première brigade volante mixte franco-belge. Son partenaire français sera Mathias Ducatel, voisin de douane et ennemi de toujours, qui surprend tout le monde en acceptant de devenir le co-équipier de Vandervoorde et sillonner avec lui les routes de campagnes frontalières à bord d’une 4L d’interception des douanes internationales.
Não é uma continuação da Riviera não é aqui, nem tem a mesma leveza do outro filme, aqui as situações e caracterizações são feitas com uma mão mais pesada, mas sem deixar de maneira nenhuma o humor de lado. O filme sofreu algumas criticas pesadas, principalmente por aqueles que esperavam a repetição da formula do filme anterior,  Eu assinaria a critica que transcrevo abaixo.


"On prend la même recette et on recommence. Même si c’est un nouveau film de Danny Boon, on ne pourra pas s’empêcher de faire certains rapprochements avec Bienvenue chez les ch’tits. Mais si on outre passe ça, et à bien y regarder, certaines choses ont quand même changé. Là où Bienvenue chez les ch’tits n’avait que les gentils protagonistes du nord, on a le droit à une intrigue, aussi maigre soit elle, avec des trafiquants, des méchants trafiquants (enfin plus bêtes d’ailleurs que méchant) cherchant à faire passer de la marchandise au delà des frontières. On a même le droit à une grande course poursuite en 4L customisée et à une arrestation musclée. Une petite histoire d’amour presque impossible ponctue les relations entre notre duo de choc Poelvoorde / Boon. Le réalisateur-acteur continue sur ce qu’il sait faire de mieux : une comédie populaire tous public, cherchant juste à divertir le spectateur.

Après la poste, Danny Boon, également aux commandes du scénario, nous propose une nouvelle histoire originale s’attaquant à une autre administration : le service de douanes frontalières au passage de l’Europe. On a donc certains stéréotypes de la profession mis à mal, tout ça dans l’humour et sans moquerie. Même s’il est beaucoup question du racisme (un belge détestant au possible « les camemberts »), il n’y a aucun côté moralisateur et je pense que c’est ce qui fait la force de ce film. Une mise en scène efficace, de l’humour et du burlesque aussi drôle que dans Bienvenue chez les ch’tits font de ce film, un divertissement réussi."